Trois dessins liés aux plans du violon à roue

alugraphies, 50*65cm.



éclaté de la caisse



collage de la table


vide résonant

La Très Grosse Vielle

Je serais très curieux d'entendre le son de cette chose, ça m'intrigue pas mal.
D'autres photos ici de l'instrument de Philipe Destrem et de Jean Michel Ponty.

La Wheelharp de Jon Jones

La wheelharp ne semble pas avoir eu de suite, du moins sur Internet, contrairement à ce qu'avait annoncé son papa, Jon Jones.
Une page du très chouette site Oddmusic est consacré à cette chose, ici.

le kaisatsuko de Yushi Onoue

bon bah voilà, ça servait vraiment à rien que je m'embête pendant cinq mois à faire une coque toute tordue :

son site ici, il semble être très bricoleur.

Geigenwerk, la blague de De Vinci

Je vous invite à aller voir le site de Akio Obuchi, ce japonais qui semble actuellement se casser les dents sur le Geigenwerk, un instrument né d'un griffonnage dans un coin de feuille de Leonard De Vinci. Depuis ce griffonnage, beaucoup de personnes ont tenté de fabriquer l'impossible Geigenwerk, sans trop de réussite puisqu'il est si peu connu.
C'est un des rares instruments utilisant le système d'archet circulaire.
J'en ai vu qu'un seul ancien exemplaire, au musée des instruments de musique de Bruxelles.
le site d'Akio Obuchi ici.

Première utilisation de l'instrument dans "TRANSPOSITION n°1"

"TRANSPOSITION n°1" est une pièce que j'ai écrit et que nous avons interprété et enregistré dernièrement à six musiciens ; c'est la première intervention du violon à roue.


voix :
Belli Egret
Gwladys Le Cuff
Yuki Shiraishi
instruments :
basse acoustique fretless, Adrien Bardi
violon, Prune Bécheau
violon à roue, Léo Maurel

extrait du conducteur de "TRANSPOSITION n°1"



Texte figurant au dos de la partition:

TRANSPOSITION n°1 a été écrit d'après trois trajets à vélo entre le 67 rue de Richelieu et le 14 rue Bonaparte à Paris.

C'est un conducteur pour trois groupes d’interprètes, à savoir qu’il n’est que la notation d’une suite d’évènements situés très précisément dans le temps.

Ces évènements sont répartis sur deux voies, l’une chantée, l’autre jouée avec un ensemble d’outils sonores dont le choix est laissé aux interprètes. Une troisième ligne indique l’évolution de la perception de l’espace, à imaginer comme la variation de l’espace de jeu, ses ouvertures et rétrécissements. Le graphisme pourra guider intuitivement dans le choix des hauteurs, spectres et enveloppes de chaque son.

Le conducteur est le même pour les trois groupes (à une légère variation près), seule la vitesse de lecture change.

Pour un même évènement, chaque groupe trouvera la retranscription sonore qui lui convient.

Les choix d’interprétation d’un groupe doivent s’opérer en prenant compte du passé et/ou devenir de la suite d’évènements alors joués dans le même instant par les deux autres groupes.

Le repérage des évènements dans le temps et la synchronisation des trois groupes se fait grâce au support vidéo.

La pièce pourra être enregistrée puis écoutée au casque, en faisant du vélo entre le 67 rue de Richelieu et le 14 rue Bonaparte à Paris.

Les plans du violon à roue

Etrangement, j'ai réalisé ces plans en souhaitant qu'un fou curieux se penche dessus et continue la recherche, améliore l'instrument, etc.
Il permettent aussi de voir comment la bête est faite, tout simplement aussi.

pour aller vers une page où l'on peut télécharger les plans, cliquez ici.

la vielle de Philippe Berne

un luthier que j'ai rencontré.
Il fait beaucoup de recherches, et notamment a travaillé sur un instrument proche du mien sur le principe, et bien plus simple!!

Ici la page de son site sur sa vielle à roue et à manche.